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N’DIAYE RAMATOULAYE DIALLO (Mali)
Femme politique, ancienne Ministre de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme du Mali, Directrice adjointe de la campagne présidentielle de 2013 et ancienne directrice du groupe Starcom, N’Diaye Rama DIALLO est une professionnelle du management stratégique et intelligence économique.
Spécialiste du genre, des questions de paix et de sécurité en Afrique, elle a remporté la lutte pour l’adoption par le Parlement malien de la première loi sur la propriété intellectuelle, qui finalement reconnu le statut professionnel des artistes et leurs droits économiques. Sous sa direction, le Mali est devenu champion de la culture, des arts et du patrimoine pour l’Afrique. Elle a également lancé le premier baromètre de la gouvernance culturelle africaine.
Actuellement conseillère pour le Dubaï Expo 2020, elle est Officier de l’Ordre National du Mali, Commandeur de l’Ordre national du Mérite de France et détentrice de la Médaille Commémorative du 70ème anniversaire de l’UNESCO.

NADIA EL FANI (Tunisie)
En 1990, elle réalise sa première œuvre, le court métrage documentaire Pour le plaisir, dans lequel elle affiche déjà son attitude transgressive en montrant directement la nécessité d’être maître de son propre corps. Son œuvre suivante, Fiftu-fifty, mon amour, est une réflexion sur l’identité aux accents autobiographiques.
En 2001, Nadia El Fani sort son premier long métrage, Bedwin Hacker, qui traite du pouvoir de l’information et de la télévision dans le but d’inverser et de remettre en question les relations Nord-Sud.
En 2007, elle a produit Ouled Lenine, un documentaire sur son père. En 2011, elle réalise le documentaire Laïcité Inch’allah !, un manifeste pour la laïcité et un appel à la tolérance et à la liberté d’expression, tourné trois mois avant la chute de Ben Ali suite aux révolutions du Printemps arabe.
Lors de la première du documentaire en Tunisie, la réalisatrice est menacée de mort par des islamistes, alors qu’au même moment, elle lutte pour surmonter et vaincre le cancer qui lui a été diagnostiqué. Pour dépeindre les deux luttes, contre les extrémistes et contre la maladie, et pour montrer les conséquences et la peur qu’un film peut déclencher, Nadia El Fani, avec Alina Isabel Pérez, a réalisé Même pas mal (2012).
Un an plus tard, avec Caroline Fourest, elle réalise Elles livrent bataille : Nos seins, nos armes, un documentaire sur la naissance des Femen en Ukraine et leur expansion en France en 2012.

NADINE IBRAHIM (Nigéria)
Grâce au travail de sa mère, ancienne Ministre nigériane de l’environnement et actuelle vice-secrétaire générale des Nations unies, Nadine a avoué avoir pris conscience des secteurs les plus défavorisés de son pays ainsi que de la profonde corruption dont souffre le Nigeria. À l’âge de 14 ans, elle s’est installée au Royaume-Uni et, quelques années plus tard, elle a commencé à étudier le cinéma à l’Université du Gloucestershire. Dans ce pays, elle a réalisé son premier court métrage en 2015, Idéar.
En 2017, elle a été productrice associée du film nigérian Hakkunde, réalisé par Oluseyi Asurf, qui raconte le processus de migration d’un jeune homme de Lagos à Kaduna. La même année, elle a fondé la société multimédia Naila Media, dont elle est la directrice exécutive, et a également réalisé le court métrage Through Her Eyes. Le court métrage raconte l’histoire d’Azeeza, une jeune fille de 12 ans qui, après avoir été kidnappée, est forcée de devenir une kamikaze.
En 2020, elle sort le documentaire Marked, qui, avec ses 20 minutes, est le plus long court métrage qu’elle ait jamais réalisé. Ce dernier traite de la scarification au Nigeria, une pratique répandue mais taboue dans ce pays. Entre-temps, elle a réalisé plusieurs courts métrages de fiction produits par Naila Media, tels que Tolu ou I am not a corrupt, où elle traite également, de manière acide, du panorama politique compliqué du Nigeria.

NANA JANE OPOKU-AGYEMAN (Ghana)
Ancienne ministre de l’Éducation (en particulier, le soutien aux filles et aux femmes).
Nombreux rôles dans le domaine de l’éducation : professeure, doyenne et première vice-chancelière d’une université publique au Ghana.
Présidente sortante du Forum des Éducatrices Africaines et Présidente du Conseil d’Administration de l’Afrique.
Contribution importante au développement et à la promotion d’une éducation de qualité au Ghana.

NANA OYE BAMPOE ADDO (Ghana)
Nana Oye Bampoe Addo est une avocate spécialisée dans les droits de l’Homme au Ghana avec 30 ans d’expérience devant le tribunal au sujet de la défense des droits de l’Homme, les litiges, le genre, le gouvernement et la protection sociale. Elle a travaillé avec le gouvernement en tant que Ministre de l’égalité des sexes, de l’enfance et de la protection sociale au Ghana, et avec la société civile en tant que coordonnatrice régionale du bureau africain du Commonwealth Human Rights Initiative.
En tant que membre éminent du mouvement de la société civile ghanéenne, elle a coordonné le plaidoyer pour l’adoption du projet de loi sur le droit à l’information. Elle a également été un pilier du plaidoyer pour l’adoption de la loi sur la violence domestique (2007), la loi sur la traite des êtres humains et la loi sur le handicap. Au niveau de la région de l’Afrique, elle faisait partie du CSOs qui a plaidé pour l’adoption du protocole additionnel à la Charte africaine des droits de la femme.
En tant que Ministre du conseil, elle a dirigé la création d’un système de protection sociale formel au Ghana et a créé un registre national des ménages au Ghana pour la protection sociale (le premier en Afrique de l’Ouest).
Elle a renforcé le cadre juridique et politique du Ghana pour le genre, les enfants et la protection sociale en dirigeant l’adoption de cinq politiques et plans opérationnels clés : Politique d’égalité des sexes, politique de protection sociale, politique de protection de l’enfance et de la famille, politique de justice pour les enfants et politique d’alimentation scolaire.
Elle est passionnée par la protection des droits de l’Homme, des droits des femmes, du HIV/AIDs, du gouvernement, de la transparence, de la responsabilité et de la protection des populations clés.

NANFADIMA MAGASSOUBA (République de Guinée)
Militante des Droits de la Femme et Politicienne.
Ancienne Présidente de la Coalition Nationale de Guinée pour les Droits et la Citoyenneté des Femmes (CONAG-DCF) ; coalition reconnue comme groupe consultatif auprès des Nations Unies.
Elle a été Conseillère chargée d’études au bureau de stratégie à la Primature.
Elle a été Ministre de la Solidarité Nationale, de la Promotion Féminine et de l’Enfance.
Elle a été Députée de la 8ème législature à l’Assemblée Nationale.
Elle a été Présidente du Forum des Femmes Parlementaires de Guinée.
Elle a été vice-présidente du Comité Africain des Éducateurs à la Paix.
Elle a été Présidente de l’Intersyndicale des femmes de Guinée.
Elle a été Coordinatrice de l’Afrique de l’Ouest du Réseau Africain des Femmes Travailleuses.

NEILA CHAABANE (Tunisie)
Professeure de droit public.
Secrétaire d’État tunisienne chargée des affaires de la femme, de l’enfance et de la famille (2014-2015).
Chargée de mettre en œuvre la politique de l’État en matière de promotion de l’égalité des droits, de l’émancipation économique des femmes, de la lutte contre la violence, de la protection des plus vulnérables, de la lutte contre l’abandon scolaire et de la promotion des femmes en milieu rural. Elle a été membre de la Commission nationale d’investigation sur la corruption et la malversation (2011-2012).
Elle est membre suppléant pour la Tunisie à la Commission européenne pour la démocratie par le droit, la Commission de Venise.
Études : droit. Plusieurs postes à l’université, dont celui de doyenne de la faculté des sciences juridiques, politiques et sociales, Université de Carthage.

NEREA APARICIO (Espagne/États-Unis)
Conseillère sénior d’All in For Development et membre du Conseil d’administration de cette organisation (Washington D.C.).
Elle dirige et surveille les projets de coopération internationale liés à la gouvernance locale et à la violence de genre, aux droits de la jeunesse, à l’environnement, à la croissance économique soutenable, aux droits des peuples indigènes et des groupes vulnérables et à l’anticorruption.
Elle a été spécialiste principale de la Commission inter-américaine des droits humains de l’Organisation des États américains, ainsi que directrice pour l’Amérique latine et les Caraïbes de l’Initiative pour l’État de droit de l’Association du Barreau des États-Unis. Elle a travaillé aussi pour les Nations Unies à Genève, au Guatemala et en Colombie.
Aparicio a eu son diplôme en Droit par l’Université de Deusto et a une maîtrise en Études légaux internationaux (LL.M.) par le Washington College of Law de l’American University (Washingtion D.C.).

NETUMBO NANDI NDAITWAH (Namibie)
1991-1994 : Présidente de l’Organisation nationale des femmes de Namibie.
1996-2000 : Directrice des Affaires des femmes de l’Officine du Président. Après, elle a été ministre des Affaires des femmes et du Bien-être des enfants.
2005-2010 : Ministre de l’Information et de la Technologie.
2010-2012 : Ministre de l’Environnement et du Tourisme.
2012-actualité : Ministre des Relations internationales et de la Coopération.
2015-actualité : Vice-première Ministre de Namibie (première femme à occuper ce poste).
Ndaitwah est aussi membre du parti au pouvoir du pays, le SWAPO. Elle a servi le parti en tant que Vice-présidente (première femme à occuper ce poste) et à l’Assemblée nationale.

NOROARISOA S. RAVAOZANANY (Madagascar)
Présidente de la « Focus Development Association ».
Sociologue, spécialiste du genre et de la recherche qualitative.
Consultante internationale pour les pays francophones.
2009 : fondatrice du Mouvement pour la promotion du genre en politique et développement (VMLF) et membre du Conseil national.
2012 : présidente du Conseil national des femmes de Madagascar.
2014 : coordinatrice du projet Prévention et réduction des apatrides à Madagascar.
2017 : membre de la coordination du Réseau francophone pour l’Egalité homme-femme.
2021 : co-leader de la coalition Mouvement et leadership féministe à Madagascar.
Thèmes : intégration du genre dans les politiques publiques, gouvernance, éducation et santé publique. Lutte contre les discriminations et les violences basées sur le genre.

OBIAGELI “OBY” KATRYN EZEKWESILI (Nigéria)
Obiageli « Oby » Katryn Ezekwesili, experte en politique économique, est conseillère économique principale de l’Africa Economic Development Policy Initiative et cofondatrice et directrice de Transparency International-TI. Ezekwesili est actuellement la fondatrice et directrice de Human Capital Africa (HCA). Elle est aussi la fondatrice et la présidente du Conseil d’administration de The School of Politics, Policy and Governance à Abuja (Nigéria).
Elle a été candidate au poste de présidente du Nigéria aux élections de 2019 et est devenue la fondatrice et présidente de #FixPolitics Initiative. Ezekwesili a été vice-présidente de la région d’Afrique de la Banque mondiale à Washington DC entre 2007 et 2012. Entre 2000 et 2007, elle a occupé différents postes au sein du Gouvernement nigérian en tant que ministre des Minéraux et de l’Éducation, entre autres. Ezekwesili a également travaillé comme directrice du projet de stratégie économique Harvard-Nigeria au Centre pour le développement international. Elle a reçu de nombreux prix et a été reconnue comme l’une des personnes les plus influentes de Time-100. L’Institut de recherche sur la paix d’Oslo l’a considérée comme l’une des candidates potentielles pour le prix Nobel de la paix 2018.

OTIKO AFISAH DJABA (Ghana)
Otiko est activiste et la voix des filles, des femmes et des personnes handicapées ghanéennes pour renforcer l’équité, l’égalité et l’inclusion entre les sexes et les personnes handicapées. Actuellement, elle est directrice exécutive et fondatrice de la Henry Djaba Memorial Foundation en Accra (Ghana).
Elle est titulaire d’un doctorat honorifique de l’université Alfred Nobel d’Ukraine pour ses services humanitaires, du prix 2020 Ghana Leadership for Excellent Achievement et du prix Heroes of Africa. Elle a plus de 30 ans d’expérience en tant qu’activiste, féministe, formatrice et mobilisatrice de terrain. Elle est une ambassadrice du changement remarquable, notamment pour les personnes handicapées, les filles vulnérables et les femmes.
En tant que ministre du Genre, de l’Enfance et de la Protection sociale en 2017, elle a été activement impliquée aux niveaux national et international dans l’élaboration de stratégies sensibles au genre, l’influence des politiques et la formulation de développement inclusif, équitable et égalitaire, les initiatives de formation en leadership, la formation, formation en compétences entrepreneuriales et autonomisation, ainsi que la campagne d’activisme pour les personnes vulnérables handicapées, les filles, les femmes et les enfants.

OTILIA INÉS LUX GARCÍA DE COTÍ (Guatemala)
Licenciée en Administration éducative. Femme Maya k´iche´/Guatémaltèque.
Elle est conseillère de MADRE pour les femmes indigènes au siège de New York et du Programme emblématique de la femme indigène du Fond indigène d’Amérique latine et des Caraïbes. FILAC.
García est membre du Groupe consultatif d’Amérique latine et des Caraïbes pour ONU Femmes en Amérique latine, dans les Caraïbes et au Guatemala.
Elle a fait partie du Comité de clarification historique sur la violation des droits humains et faits de violence au Guatemala. García est une ancienne députée du Congrès de la République du Guatemala et ancienne ministre de la Culture et des Sports du Guatemala.
Elle a été aussi représentante du Guatemala devant le Conseil exécutif de l’UNESCO et experte des Peuples indigènes aux Nations Unies dans le Forum permanent de questions indigènes.

OUMOU SALL SECK (Mali)
Élue Maire de la Commune urbaine de Goundam dans la partie nord du Mali en 2004, 2009 et 2016.
Engagée à promouvoir le rôle des femmes dans la société et la politique au Mali.
Aborde les questions touchant les enfants et les femmes dans son manifeste électoral.
Fondatrice et Coordinatrice du Mouvement Trait d’Union pour la cohésion sociale au Mali, elle milite pour la reconstruction de la paix au Mali et au Sahel.
En 2015, nommée experte auprès du Haut Représentant du Président de la République pour le dialogue inclusif interne-malien d’Alger, elle a participé à l’ensemble du processus de négociation pour la paix et la réconciliation.
Ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire du Mali en Allemagne depuis 2018.

RASMATA COMPAORE (Burkina Faso)
Maire du 12ème arrondissement de la ville de Ouagadougou de juin 2016 à février 2022.
Ancienne Présidente du caucus des femmes élues locales du Burkina.
Ancienne secrétaire adjointe chargée des relations extérieures de l’Association des municipalités du Burkina Faso (AMBF).

REBECA GRYNSPAN (Costa Rica)
Secrétaire générale ibéro-américaine à la Réunion extraordinaire des ministres des Affaires étrangères en 2014. Secrétaire générale de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement en 2021.
Vice-présidente du Costa Rica de 1994 à 1998.
Ministre du Logement, ministre coordinatrice des Affaires économiques et sociales, ministre adjointe des Finances.
Membre du Groupe de haut niveau sur le Financement du développement en 2001. Défenseuse reconnue du développement humain.
Thèmes : réduction des inégalités et de la pauvreté, équité entre les sexes, coopération Sud-Sud comme instrument de développement et d’atteinte des Objectifs de développement durable, etc.

REMI SONAIYA (Nigéria)
Professeure de langue française et de linguistique, femme politique et écrivaine.
Elle est bien connue pour sa carrière dans l’éducation.
Première ambassadrice scientifique Nigériane de la Fondation Alexander von Humboldt (Allemagne).
Seule candidate aux élections présidentielles de 2015 au Nigéria et première Nigériane à participer à la campagne présidentielle ainsi qu’au débat électoral.
Elle a écrit A Trust to Earn – Reflections on Life and Leadership in Nigeria (2010) ; Daybreak Nigeria – This Nation Must Rise! (2014) ; et One Woman’ s Race (2018), un récit de sa campagne présidentielle.
Membre du Comité de rédaction du Projet de création du village nigérian de langue française (1990) et actuellement présidente du Conseil des gouverneurs.
Première agente nationale des relations publiques du Parti KOWA.

ROSEBELL KAGUMIRE (Ouganda)
Rosebell est écrivaine, militante, blogueuse primée, féministe panafricaine et stratège en communication multimédia. Elle est actuellement Commissaire et Rédactrice en chef d’AfricanFeminism.com. Elle possède une expertise dans les domaines des droits de l’Homme, de l’égalité des genres, de la paix et des conflits. Ses écrits sont publiés dans des médias internationaux comme The Guardian, Al Jazeera, Quartz, etc.
Elle a travaillé comme Responsable de la communication pour l’Afrique pour Women’s Link Worldwide, couvrant les mécanismes des droits de l’Homme en Afrique, élaborant des stratégies de communication sur des questions telles que la violence sexuelle, la traite des êtres humains, les droits sexuels et reproductifs et la discrimination. Le Forum économique mondial l’a reconnue parmi les jeunes leaders mondiaux de moins de 40 ans en 2013.
Elle a étudié la communication d’action sur les masses à l’Université de Makerere, le conflit Non-violent à la Fletcher School of Law and Diplomacy de l’Université de Tufts et est titulaire d’une maîtrise en études de médias, de paix et de conflits de l’Université pour la paix mandatée par les Nations Unies au Costa Rica.

SAMIA MELKI FESSI (Tunisie)
Présidente de l’association Kadirat pour la Parité et l’Egalité et membre du comité de pilotage du réseau de solidarité des organisations de femmes Africaines.
Samia s’évertue depuis plus de trente ans à améliorer la condition des femmes en agissant sur les lois discriminatoires en Tunisie, en Afrique et dans la région Arabe.
Thèmes : protection, parité, paix, réussir la transition démocratique.
Objectif : Lutter pour que les gouvernements harmonisent leurs lois nationales avec les dispositions inscrites dans les conventions régionales et internationales relatives aux droits des femmes.

SECELELA BALISIDYA (Tanzanie
Secelela Balisidya est une spécialiste primée de la communication qui a plus de 20 ans d’expérience dans la présentation de messages par le biais de diverses formes de communication. Elle a consacré l’essentiel de sa carrière à la gestion de la communication, travaillant en tant que Conseillère pour des agences de l’ONU, des O.N.G.s, des établissements universitaires, le gouvernement et au sein d’organismes internationaux.
Secelela a été capable d’interagir avec des personnes de tous niveaux et de travailler ensemble pour répondre à leurs besoins et défis en matière de communication. Secelela a produit des nouvelles et articles imprimées et en ligne sur le genre, l’environnement, les ressources naturelles, l’énergie, la santé et diverses histoires axées sur les femmes.
Elle est titulaire d’un diplôme supérieur en journalisme et communication de masse avec une mention très bien, d’un diplôme de troisième cycle en entrepreneuriat et développement commercial de l’Université de Dar es Salaam, et d’une maîtrise en administration des affaires de l’école de commerce de l’Université de Dar es Salaam (UDBS).

SOPHIA A. N. WAMBURA (Tanzanie)
Juge à la retraite de la Haute Cour de Tanzanie et présidente de l’Association des juges et magistrats d’Afrique de l’Est (EAMJA) Droit et justice.
Elle a pris sa retraite en tant que juge en charge de la division du travail de la Haute Cour en octobre 2020 après avoir été à la fois magistrate résidente, greffière et juge au sein du pouvoir judiciaire de Tanzanie pendant près de 35 ans.
Wambura est formatrice de formateurs en matière de droits humains et plus particulièrement de droits des femmes et des enfants, justice pour mineurs, droit du travail et rédaction de jugements. Elle guide également des jeunes avocates et magistrates.
Actuellement, elle est arbitre agréé, avocate non pratiquante et consultante juridique. Avec ses collègues, elles élaborent actuellement un manuel de formation des formateurs et formatrices sur la violence sexiste pour les magistrats. En plus d’être présidente de l’EAMJA, elle est également membre de l’Association internationale des femmes juges (IAWJ), de la Commonwealth Magistrates and Judges Association (CMJA) et de l’Association des femmes juges de Tanzanie (TAWJA).

SUZI BARBOSA (Guinée-Bissau)
Femme politique bissau-guinéenne, parlementaire et coordinatrice du Comité des femmes parlementaires de Guinée-Bissau.
Défenseuse de la participation des femmes aux affaires politiques nationales.
Partie du mouvement féministe qui évitait de voter aux élections si les femmes ne figuraient pas sur la liste des candidats.
L’égalité des chances pour les femmes et les hommes, en particulier dans les postes de prise de décision.
2017 : déléguée à la première conférence du Cercle des femmes de l’Assemblée nationale à Québec, composée par des femmes politiques de pays francophones, réunies pour renforcer les capacités des femmes leaders mondiales.

SVIATLANA TSIKHANOUSKAYA (Biélorussie)
Sviatlana Tsikhanouskaya est la leader des forces démocratiques biélorusses qui, d’après les observateurs indépendants, ont remporté l’élection présidentielle du 9 août 2020, contre le président autocratique Aliaksandr Lukashenka. En tant que leader du mouvement démocratique biélorusse, elle s’est rendue dans 26 pays, recueillant soutien et plaidoyer pour la libération de plus de 1000 prisonniers politiques et une transition pacifique du pouvoir par le biais d’élections libres et équitables.
Lors de réunions avec le président Biden, la chancelière Merkel, le président Macron, la présidente Von der Leyen et d’autres dirigeants du monde, Tsikhanouskaya a souligné la nécessité d’une réponse plus courageuse aux actions de la dictature biélorusse.
En 2020–2022, Sviatlana Tsikhanouskaya est devenue un symbole de la lutte pacifique pour la démocratie et un leadership féminin fort. Parmi des dizaines de distinctions, elle est récipiendaire du prix Sakharov décerné par le Parlement européen, du prix international Four Freedoms 2022 et du prix Charlemagne. En 2021 et 2022, elle a été nominée pour le prix Nobel de la paix par le président lituanien Gitanas Nauseda et les députés norvégiens, respectivement.

SYLVIA BLYDEN (Sierra Leone)
Journaliste.
2013-2015 : assistante personnelle du président du pays.
2016-2017 : ancienne ministre du Bien-être social, du Genre et de l’Enfance.
Connue comme la seule femme rédactrice en chef de son pays (dans sa propre maison d’édition).
Connue comme une figure féminine maîtresse en politique en Sierra Leone.
Activiste des droits des femmes et des enfants.
1995 : elle a été choisie pour représenter les jeunes femmes à la Conférence des femmes des Nations Unies à Pékin.
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