Stop aux violences


Les femmes ne peuvent plus tolérer la violence. Nous ne pouvons plus supporter davantage de harcèlement, de viols et de maltraitance. Nous ne pouvons plus accepter la douleur, l’humiliation que représente, non pas pour quelques-unes, mais pour la moitié de l’humanité, la violence systématique qui, pendant des siècles, a été exercée et continue de l’être aujourd’hui sur les femmes.

Quand on nous dit qu’il faudra encore 130 ans pour que l’égalité devienne une réalité si nous continuons à avancer à ce rythme sur la voie qui nous y conduit, nous ne sommes peut-être pas conscients de ce que cela signifie. Nous ne sommes pas vraiment conscients que pendant plus d’un siècle, malgré le fait que nous vivions dans un monde que les nouvelles technologies transforment chaque jour, nous devons continuer à supporter la conséquence la plus terrible de l’inégalité, qui est la violence massive, et trop souvent tolérée, qui s’exerce à l’égard des femmes.

En ce 25 novembre, non seulement nous, mais tous les bons citoyens, devons proclamer notre rejet absolu de ce phénomène pathologique qui enfin, commence aujourd’hui à être considéré pour ce qu’il est, l’un des problèmes les plus graves et les plus douloureux de nos sociétés, un obstacle majeur à la consolidation réelle de nos démocraties.

Un défi mondial aussi grave et aussi perturbateur que le changement climatique ou l’irruption des populismes.

Les femmes sont contre la violence. Nous sommes contre les violences. Parce que toutes les violences, toutes les guerres et tous les conflits finissent par détruire surtout les femmes. En ce jour qui devrait être tous les jours, écoutez-nous, écoutez la voix des femmes,  que nous luttons seulement  avec la parole et la  raison contre l’absurdité de la violence, et rejoignez la recherche d’espaces et de modes de vie qui s’éloignent de l’affrontement, de l’agression, de la domination et des abus.

Rejoignez la lutte pour l’égalité.

Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons construire un monde meilleur, non seulement pour les femmes mais pour tous.

Les femmes ne peuvent plus tolérer la violence. Nous ne pouvons supporter plus de harcèlement, plus de viols, plus de mauvais traitements. Nous ne pouvons plus accepter la douleur, l’humiliation, non pas pour quelques-uns, mais pour la moitié de l’humanité, de la violence systématique qui, pendant des siècles, a été exercée et continue d’être exercée aujourd’hui contre les femmes.

Lorsqu’on nous dit que l’égalité prendra encore jusqu’à 130 ans pour devenir une réalité si nous continuons à ce rythme sur la voie qui y mène, nous ne nous rendons peut-être pas compte de ce que cela signifie. Nous n’avons pas vraiment conscience que pendant plus d’un siècle, bien que nous vivions dans un monde que les nouvelles technologies transforment chaque jour, nous devrons continuer à subir la conséquence la plus terrible de l’inégalité, à savoir la violence massive et trop souvent tolérée à l’égard des femmes.

En ce 25 novembre, non seulement nous, mais tous les bons citoyens, devons proclamer notre rejet absolu de ce phénomène pathologique qui, aujourd’hui, commence enfin à être considéré pour ce qu’il est, un des problèmes les plus graves et les plus douloureux de nos sociétés, un obstacle majeur à la consolidation réelle de nos démocraties.

C’est un défi mondial aussi grave et inquiétant que le changement climatique ou l’émergence du populisme.

Les femmes sont contre la violence. Nous nous opposons à la violence parce que toutes les violences, toutes les guerres et tous les conflits finissent par atteindre les femmes en particulier. En ce jour qui devrait être tous les jours, écoutez-nous, écoutez la voix des femmes, qui luttent avec les mots et la seule raison contre le caractère déraisonnable de la violence, et rejoignez la recherche d’espaces et de modes de vie qui s’éloignent de la confrontation, de l’agression, de la domination et des abus.

Rejoignez la lutte pour l’égalité.

Ce n’est qu’ainsi que nous parviendrons à construire un monde meilleur, non seulement pour les femmes, mais pour tous.

María Teresa Fernández de la Vega

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